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LA PLANÈTE BLANCHE

Dans les paysages grandioses de l'Arctique, la vie animale filmée au plus près, au fil des saisons. De la naissance de bébés ours blancs à la danse des baleines boréales, des images magiques d'un océan en sursis, accompagnées des commentaires de l'explorateur Jean-Louis Étienne.




Assister dans la nuit polaire à la naissance de bébés ours blancs, puis contempler leurs premiers pas maladroits sur la glace, le printemps venu ; voir les phoques et les morses s'ébattre sur la banquise et fendre les eaux limpides de l’océan Arctique ; contempler à l’horizon la danse des baleines boréales et plonger dans le sillage des narvals ; voler avec les guillemots… : cinq mois durant, de l’hiver à la fin de l’été, les réalisateurs ont filmé la faune en sursis de l’Arctique, en d’éblouissantes séquences qui sont autant de motifs d’alarme. "Si rien ne change, la banquise pourrait disparaître en été, avant la fin du siècle, et avec elle, de nombreuses espèces", résume le commentaire sobre dit par l’explorateur Jean-Louis Étienne, qui a souvent arpenté ces contrées polaires menacées.

Contemplation

Le grand mérite de La planète blanche, c’est de regarder vivre presque sans paroles la faune si riche de l’océan Arctique au fil des saisons, prenant le temps de la contemplation et de l’émerveillement. Un splendide documentaire, qui a remporté un grand succès public et critique lors de sa sortie en salles. Auteur, comme Jean Lemire, de très nombreux documentaires diffusés par ARTE, Thierry Ragobert vient d’achever Amazonia, actuellement au cinéma.



© Gilg & Sabard/Grea









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